À la recherche du temps perdu (suite) – qu’en dirait La Fontaine ?
Définitivement adoptée le 11 avril dernier, la loi relative à la croissance et la transformation des entreprises, dite « Loi Pacte », a fait l’objet de plusieurs recours en Conseil constitutionnel les 16 et 23 avril. À l’heure où nous rédigeons ces lignes la loi n’est pas encore promulguée. Les dispositions ci-dessous ne sont pas concernées par les recours.
Apport de la loi de modernisation de la justice du XXIe siècle
Fidèle à sa jurisprudence, la Cour de cassation réitère sa position : de la seule fonction de dirigeant ne peut se déduire la qualité de caution avertie. En pareil cas, c’est à l’établissement de crédit de prouver qu’il s’est acquitté de son devoir de mise en garde lorsqu’il en est effectivement tenu.
Debt exchanges have long been utilized by distressed companies to address liquidity concerns and to take advantage of beneficial market conditions. A company saddled with burdensome debt obligations, for example, may seek to exchange existing notes for new notes with the same outstanding principal but with borrower-favorable terms, like delayed payment or extended maturation dates (a "Face Value Exchange"). Or the company might seek to exchange existing notes for new notes with a lower face amount, motivated by discounted trading values for the existing notes (a "Fair Value Exchange").
One of the primary fights underlying assumption of an unexpired lease or executory contract has long been over whether any debtor breaches under the agreement are “curable.” Before the 2005 amendments to the Bankruptcy Code, courts were split over whether historic nonmonetary breaches (such as a failure to maintain cash reserves or prescribed hours of operation) undermined a debtor’s ability to assume the lease or contract.