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The Supreme Court has handed down its judgment in the case of The Trustees of Olympic Airlines SA Pension and Life Assurance Scheme –v- Olympic Airlines SA. Pitmans’ Trustee company, PTL, were the Appellants.

The question at issue was what connection must a foreign company, that has its Centre of Main Interests (COMI) in another EU country, have within the United Kingdom, to entitle an English Court to wind it up.

In the context of a tenant’s bankruptcy, Justice Romaine of the Alberta Queens Bench recently characterized a deposit provided under a lease as a security interest, as opposed to pre-paid rent, forcing an unsecured landlord to remit the money to a trustee in bankruptcy.

In the recent decision of Horton v Henry [2014] EWHC 4209 (Ch) the High Court held that a Bankrupt’s unexercised rights to draw his pension did not represent income to which the Bankrupt was entitled within the meaning of section 310(7) of the Insolvency Act 1986 and so refused to make an Income Payments Order. This contradicted the controversial decision in Raithatha v Williamson [2012] EWHC 909 (Ch) and has created uncertainty as to which is the correct position. The Horton case is being appealed.

The High Court has held that a bankrupt’s unexercised rights to draw his pension did not represent income to which the bankrupt was entitled and so refused to make an income payments order, contradicting the controversial decision in Raithatha v Williamson which held that a bankrupt’s right to draw income from a personal pension may be subject to an income payments order even if the individual has yet to draw his pension.

Horton v Henry [2014] EWHC 4209 (Ch)

This article provides an essential update for insolvency practitioners on the proposed Insolvency Rules 2015 and the end of the insolvency exemption on Conditional Fee Agreements.

The end of the CFA?

Un avis de cotisation de l’Agence du revenu du Canada (l’ARC) constitue une mesure de recouvrement prouvable au sens de l’article 69.3 de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité (LFI). Lorsque l’ARC est un créancier non garanti, la réclamation est sujette à la suspension des procédures de l’article 69.3 LFI, et pour lever cette suspension, l’ARC doit se présenter devant le tribunal, tel que prévu par l’article 69.4 LFI.

Antérieurement à sa faillite, la débitrice agissait à titre d’entreprise fournissant des services de « warehousing, receiving and shipping (pick and pack) ».

Après la faillite de l’entreprise survenue le 9 janvier 2014, l’un de ses anciens clients a réclamé du syndic la remise de ses inventaires.

Un torréfacteur manufacturier de café veut pétitionner en faillite son distributeur dans la région de l’Estrie. Cette procédure de faillite est assortie d’une demande pour ordonnance de sauvegarde afin que le tribunal prononce l’annulation de clauses de non-concurrence et de non-sollicitation.

La Cour supérieure du district de Québec est saisie d’une requête en homologation d’une proposition aux termes de l’article 58 de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité (la « LFI »). Le tribunal précise que son rôle n’est pas de modifier le contenu du concordat qui a déjà été accepté par les créanciers mais qu’il ne peut que l’approuver ou le rejeter.

Avant de rendre sa décision, la Cour fait état de la « controverse jurisprudentielle » quant à la nécessité de signifier au préalable les préavis d’exercice du droit hypothécaire du Code civil du Québec avant d’être autorisé à procéder à une vente d’actifs en vertu de l’article 243 LFI. Trois (3) décisions en ce sens ont été rendues par la Cour du district de Saint-François à ce sujet, alors qu’une (1) décision rendue dans le district de Montréal est à l’effet contraire.