As part of a modernization effort that began in 2008 that is being spearheaded by the Advisory Committee on Bankruptcy Rules, most official bankruptcy forms are being replaced with revised, reformatted and renumbered versions, effective December 1, 2015.

All is not lost when a debtor files Chapter 13 Bankruptcy. In addition to teaching the ins and outs of how to collect money and assets in a Chapter 13, the video below discusses the basics of a Chapter 13, motions for relief from stay, co-debtor stay, non-dischargeable claims, and other topics to efficiently and effectively obtain what is rightfully yours in a bankruptcy. View the video below to learn more about Chapter 13 bankruptcy.

The scope and extent of debts that may be discharged is an often litigated issue in bankruptcy. In a recent Chapter 13 case in the U.S. Bankruptcy Court for the Eastern District of Michigan, the bankruptcy court considered whether an otherwise dischargeable government penalty debt is nondischargeable if the debt arises from fraud^.[1]

The Bankruptcy Code is federal law. It affords debtors protections - including the automatic stay and debt discharge injunction - that hold creditors at bay.

The Fair Debt Collection Practices Act (“FDCPA”) is also federal law. It contains limitations on what a debt collector can do when attempting to collect a debt.

Because debts - and more particularly attempts to collect those debts - drive people into bankruptcy, bankruptcy courts are sometimes forced to grapple with questions of how the Bankruptcy Code and FDCPA interact and impact each other.

Sixth Circuit Affirms Bankruptcy Court Order Allowing Amended Exemptions Following Re-Opening of Case

In a Chapter 7 bankruptcy case, a debtor is required to file a schedule listing all of the debtor’s property. This includes cash, hard assets such as furniture and cars, as well as intangibles such as causes of action or potential causes of action. The Bankruptcy Code allows debtors to “exempt” certain types of property from the estate, enabling them to retain exempted assets post-bankruptcy.

Le 23 mai 2014, le juge Jean-François Émond désigne Lemieux Nolet inc. (le «Séquestre») comme séquestre de la débitrice Purgenesis Technologies inc. (la «Débitrice») et lui confère entre autres, les pouvoirs de vendre ou de disposer des actifs de la Débitrice.

Aussitôt, Monsieur Claude Moissan, syndic auprès du Séquestre, identifie les biens ainsi que les acheteurs potentiels.

Le 30 juillet 2014, un financement intérimaire est autorisé à être déboursé par Alternative Capital Group («ACG») en contrepartie duquel une charge prioritaire lui est transmise sur les actifs des débitrices Gestion Rer inc., Rer Hydro Ltd. et Hydrolienne Très Saint-Laurent Inc. (les «Débitrices»).

Peu de temps après, suite à la vérification diligente, ACG a cessé d’avancer des fonds aux Débitrices.

Le 28 août 2014, le Contrôleur met fin au mandat de ACG après avoir constaté que cette dernière n’avait alors avancé que la somme initiale de 371 000 $.

Le 17 novembre 2011, aux termes de la négociation d’une entente de cessation de vie commune, il est prévu que la demanderesse cèdera ses droits dans la résidence familiale au défendeur en contrepartie de 70 000 $ dont l’acte de vente prévoit que le paiement se fera en deux versements.

Suite à leur entente, le défendeur ne verse pas le second paiement à la défenderesse dont la créance n’est pas garantie.

Dans cette affaire, le syndic demande au tribunal de déclarer sous-évaluée au sens de l’article 96 L.F.I. le transfert par le failli Ortner d’un immeuble à son créancier Samprêt Plus inc. le 7 février 2013.

L’immeuble acquis en 2000 au coût de 450 000$ est grevé d’une hypothèque de premier rang de 350 000$ en faveur de la banque CIBC.

Le 17 février 2015, Groupe Bikini Village inc. dépose un avis d’intention de faire une proposition auprès de ses créanciers conformément  à l’article 50.4 LFI.

Le 5 mars 2015, l’entreprise présente au tribunal une requête non-contestée pour émission d’une ordonnance accordant une charge administrative, une charge en faveur des dirigeants et des administrateurs et enfin une charge garantissant un plan de rétention des employés clés.